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2015 - RECRÉATION 2021

SIMON LA GADOUILLE

DE ROBERT ALAN EVANS

TRADUCTION : SÉVERINE MAGOIS
MISE EN SCÈNE :
ARNAUD ANCKAERT

Mention des 3 T de Télérama

MARTIN ET SIMON, SE LIENT D’AMITIÉ ET DEVIENNENT VITE INSÉPARABLES. MAIS, UN JOUR…

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Au retour des vacances de Pâques, l’école compte deux nouveaux élèves : Martin et Simon, qui se lient d’amitié et deviennent vite inséparables. Mais, un jour, Martin se distingue au football et devient le plus populaire de la classe. Simon, lui, ne connaît pas cette popularité. Il n’a pas d’amis et Martin se range bien vite à l’avis des autres, tournant lui aussi le dos à Simon. Il faut dire que depuis que Simon est tombé dans la gadoue, Martin a un peu honte : Simon la Gadouille, un sobriquet tout trouvé qui lui colle à la peau comme la vase de l’étang. Puis les deux garçons grandissent, s’éloignent et s’oublient... jusqu’à ce qu’un soir, la voiture de Martin s’arrête à un feu et qu’il remarque quelque chose. Alors il se souvient...

 

« J’ai découvert ce texte par Séverine Magois, et j’en ai été bouleversé. 

C’est ce qui m’a poussé à mettre en scène ce monologue, on pourrait dire ce dialogue.

 

Dans la pièce, Martin, le narrateur, se souvient de son ami Simon. Ce couple forme le noyau d’une amitié essentielle, construite autour d’un sentiment d’exclusion, de différence face aux autres de la classe. C’est la raison pour laquelle j’ai voulu qu’il y ait un dialogue en live avec le musicien Benjamin Delvalle pour évoquer Simon.

 

C’est l’histoire d’une réparation, après la chute d’un enfant dans la gadoue, et d’une réconciliation trente ans plus tard. 

Tous les thèmes y sont abordés, la peur du regard de l’autre, la compétition, le harcèlement, la différence .

Et aussi les modèles archétypaux, la maîtresse, le professeur, la mère, et surtout le socle de la construction d’un être avec ses désirs profonds, ses peurs et ses rêves :  le monde de l’enfance.

C’est un coup de cœur qui s’adresse à tous à partir de 8 ans, et qui a trouvé des résonances très fortes dans ma propre histoire.

Probablement est-ce aussi parce que des enfants sont venus enrichir ma vie et que ce monde de l’enfance me revient en mémoire avec intensité. 

Aussi, j'ai souhaité recréer une forme autonome, afin d’aller rencontrer tous les publics.

Nous avons adapté ce spectacle pour tous types de lieux, même non équipés. 

La recréation de ce spectacle a été possible grâce aux nouvelles technologies Led, liées à la transition écologique. 

 

Mon intention principale a été de rendre ce récit comme un conte musical, avec émotion, vitalité, rythme, pour faire partager ce bouleversement ressenti à la lecture. 

L’acteur, les mots, la musique, dans une relation intime et très proche du public, c'est pour moi cela l’essence même du théâtre.

Depuis la création de ce spectacle en 2015 avec Francois Godart et sa recréation en 2021, avec Gerald Izing, nous avons noué une relation d’amitié avec l’auteur Rob Alan Evans et nous nous rencontrons régulièrement à Londres ou en France.

Les récits changent, la représentations des rôles assignés aux garçons et aux filles ont besoin d’évoluer, les bouleversements sociétaux et les questions actuelles ont progressivement intégré notre démarche, la pièce se passe dans le passé, c’est la mémoire et l’enfance de l’auteur.

Aujourd’hui cela ouvre des questionnement précieux sur le chemin parcouru et les représentations. 

Mais l’humanité qu’il y a dans ce texte est infiniment plus profonde que ce qui divise les garçons et les filles, c’est une histoire universelle d’amour. La première, celle qui nous laisse une trace indélébile dans le cœur.

 

Arnaud Anckaert (Janvier 2025)

AVEC
GÉRALD IZING
ET BENJAMIN DELVALLE

(INTERPRÉTATION MUSICALE)

DIRECTION TECHNIQUE : CHRISTOPHE DURIEUX
CRÉATION LUMIÈRES : YANN HENDRICKX
CRÉATION MUSIQUE : BENJAMIN DELVALLE

CRÉATION LES 17 & 18 AVRIL 2015 À LA COMÉDIE DE BÉTHUNE, CDN DES HAUTS-DE-FRANCE

RECRÉATION LE 07 NOVEMBRE 2021 À LA COMÉDIE DE PICARDIE, AMIENS.

LE SPECTACLE EST ÉLIGIBLE
AU PASS CULTURE

Production : Compagnie Théâtre du prisme, Arnaud Anckaert & Capucine Lange
Coproduction : Le Grand Bleu à Lille, L’Escapade à Hénin-Beaumont, Comédie de Picardie
Coréalisation : Comédie de Béthune CDN Hauts-de-France, Ville de Béthune-Festival Artimini
Avec le soutien de Lille 3000
Remerciement : La Rose des Vents, Scène nationale Lille Métropole - Villeneuve d'Ascq

 

Une pièce imaginée par Robert Alan Evans, Andy Manley et Gill Robertson
L’Arche est éditeur et agent théâtral du texte (novembre 2012)

accent circonflexe dans un cercle noir, favicon du site et composant du logo de la compagnie Théâtre du Prisme

Compagnie

Théâtre du prisme

Arnaud Anckaert

Capucine Lange

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La Compagnie Théâtre du prisme est conventionnée par : 

Le Ministère de la Culture / Direction régionale des Affaires culturelles Hauts-de-France

Le Conseil Régional des Hauts-de-France

 

La Compagnie Théâtre du prisme est soutenue par :

Le Conseil Départemental du Pas-de-Calais

Le Conseil Départemental du Nord

La Ville de Villeneuve d'Ascq

La compagnie est associée à la Comédie de Picardie, Scène conventionnée d’Amiens.

 

Compagnie partenaire des options théâtre des lycées Pasteur à Lille, Ribot à Saint Omer, Sacré Coeur à Tourcoing. Compagnie partenaire via le dispositif Drac Atelier Artistique, du lycée Darras à Liévin, ainsi que du lycée Darchicourt à Hénin-Beaumont avec Culture Commune scène nationale du bassin minier du Pas-de-Calais à Loos en Gohelle - du collège Arthur Rimbaud à Villeneuve d’Ascq.

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